Influence romaine sur les rites funéraires en Normandie : utilisation de l’espace, un enseignement (4/4)

    Dans un dernier article, dédié à l’influence romaine sur les rites funéraires en Normandie, nous verrons que tout comme le mode de sépulture ou le mobilier qui l'accompagne, l’utilisation de l’espace par ces sites funéraires nous permet de tirer un enseignement sur l’évolution causée par la conquête romaine. Les pratiques tendent graduellement à se définir.


La Tène : partage de l’espace funéraire entre deux rites


    Au début du Second Âge du Fer, en même temps que l’essor des tombes plates, on voit apparaître des îlots, où se concentrent les sépultures, matérialisés par des enclos fossoyés qui peuvent être quadrangulaires ou circulaires1. On peut voir ce phénomène avec l’habitat laténien, fouillé par l’INRAP en 2009 et 2010, près d’Heudebouville dans l’Eure2. On peut observer, sur ce site, une zone réservée pour le funéraire avec un enclos mais aussi deux incinérations qui sont, quant à elles, isolées. L’enclos et les incinérations se trouvent, dans les deux cas, à l’extérieur du périmètre d’habitat3. L’enclos funéraire, en forme rectangulaire, occupe un espace de 202 m² et comporte une dizaine de fosses. Les deux incinérations ont été découvertes sous la terre végétale et sont très arasées dû aux labours. La première incinération se trouve à une trentaine de mètres au sud-est de la zone domestique. Quant à la deuxième, elle se situe à 200 mètres au nord-ouest de cette même zone domestique.

    Une organisation spatiale se dessine dans certaines nécropoles où on aurait un emplacement selon l’âge avec une séparation entre adultes et enfants, mais aussi selon le sexe des individus. Au fur et à mesure du temps, ces îlots deviennent d’immenses nécropoles composées de centaines de tombes4. Cependant, il faut nuancer cette grandeur qui s’est développée sur deux siècles et ne concerne, en réalité, qu’une faible partie de la population de l’époque. On pensait que ces nécropoles étaient en usage par de modestes communautés villageoises qui se trouvaient proches de ces lieux funéraires. Aujourd’hui, on se rend compte que ces nécropoles concernent des populations d’une même région, mais pas nécessairement d’un même centre urbain. Elles auraient un droit à accéder à ces nécropoles contrairement à d’autres selon des critères sociaux.


    On voit une évolution au milieu du IIIe siècle avant J.-C. avec l’introduction en Gaule septentrionale de la crémation. Au départ, les sépultures issues de ce rituel sont riches mais isolées. Par la suite, cette pratique se développe et forme de réelles nécropoles bi-rituelles, c’est-à-dire où coexistent à la fois l’inhumation et la crémation. Nous avons observé ce phénomène sur le site de Cottévrard. Avant de parler du caractère bi-rituel, nous devons préciser que cet espace funéraire est également situé en dehors de l’espace domestique. Sur ce site, il existe une réelle structuration de l’espace funéraire5. Le premier groupe, constitué de tombes majoritairement à inhumation, va pour une partie s’organiser en alignements parallèles au nord de la tombe à enclos et pour l’autre s’organiser en arc de cercle. Cette tombe à enclos est considérée comme la sépulture fondatrice. Les deux autres groupes qui sont eux majoritairement à incinérations vont se positionner de manière linéaire un peu plus loin que le premier groupe. Le groupe 2 se situe à 10 mètres à l’ouest du groupe 1. Le groupe 3 lui se situe à plus de 60 mètres au sud du groupe 26. Bien qu’il y ait une distinction entre les différents groupes, ils ne sont pas exclusivement consacrés à un rite funéraire. Les deux groupes à incinérations ne connaissent pas la même position, le groupe 2 est aligné du Nord au Sud tandis que le groupe 37 est aligné de l’Est vers l’Ouest. Ce regroupement par mode de sépulture est révélateur d’une évolution ainsi qu’un changement de rites funéraires, mais non d’une pratique spécifique pour des personnes d’un certain rang ou groupe social8.

    On peut également voir ce phénomène de nécropole bi-rituelle à Pîtres9. Pourtant vaste de 200 m de longueur, elle connaît une proximité spatiale entre les deux rites funéraires. Les inhumations datant de la Tène moyenne mais aussi de la Tène finale cohabitent donc avec des incinérations de la même période. Les inhumations se trouvent à l’ouest du site de la nécropole10. On voit que les fosses à incinérations se trouvent à côté des inhumations bien qu’elles soient un peu plus à l’est avec une dizaine de mètres pour les plus éloignées11.


Alors que la crémation se généralise, on peut observer une diminution des nécropoles qui seraient due au renforcement de lois restreignant le droit à certains défunts d’obtenir une sépulture12. Durant la Tène finale, les principaux centres urbains sont entourés de modestes nécropoles ou de tombes isolées, mais extrêmement riches qu’on compare volontiers avec des sépultures datant du Premier Âge du Fer.


Nous avons donc vu que les nécropoles, au temps de la Tène, sont partagées par deux rites que sont l’inhumation et l’incinération, chose plutôt logique au vu de la coexistence de ces deux rites comme nous l’avons vu dans le deuxième article de cette série. Ces nécropoles s’organisent et chaque rite a son espace comme nous l’avons vu pour Cottévrard de manière prononcée. Au contraire, Pitres ne connaît pas un réel espace défini. Ces nécropoles se situent en général à l’extérieur de l’habitat. Nous allons voir maintenant qu’avec la présence romaine, la séparation entre le monde des vivants et des morts est plus ancrée dans la société.


Le monde des vivants et des morts : une séparation distincte


Dans le monde romain, les vivants et les morts doivent être spatialement séparés13. On peut retrouver cette exclusion avec le terme latin funus qui désigne le corps inanimé ainsi que les funérailles qui suivent, mais peut aussi désigner le meurtre. Issu de la même racine, Funestus représente le désordre que provoque la mort au contact des vivants. Les Romains devaient donc pratiquer des rituels, s’ils étaient au contact de la mort, pour se laver des souillures causées. La religion romaine étant publique et la notion de laïcité anachronique, cette séparation est mise en place d’un point de vue juridique avec des lois émises à Rome, transgressées que dans des cas exceptionnels notamment avec le bûcher de César. Les lois des douze tables sont le “premier recueil romain de lois écrites rédigées, selon la tradition, sous la pression de la plèbe en 451 et 449 av. J.-C. par les décemvirs (Decemviri legibus scribundis). C’est le principal monument juridique de toute l'époque républicaine”14. La table X explique qu’un mort ne doit pas être enterré ni brûlé à l’intérieur de la ville. De telles tables, en bronze, existaient aussi en province mais très peu ne nous sont parvenus dû à la réutilisation du matériau15. C’est en Espagne qu’on en a retrouvé le plus avec l’exemple de la loi d’Urso qui était une cité de la province du Bétique qui se situe au sud de la péninsule Ibérique. Tout comme à Rome, cette loi rappelle la nécessité d’ensevelir les défunts à l’extérieur de l’Urbs (Ville) afin de protéger la population de la souillure causée par la proximité de la mort.

Les sépultures des défunts doivent être placées à l’extérieur de la ville qui est délimitée par le pomerium, frontière sacrée définie par le rite de la fondation. Ce pomerium peut être matérialisé par des remparts qui ont plutôt une fonction prestigieuse que défensive surtout durant le Haut-Empire. Cependant, ces remparts sont surtout vrais en Gaule narbonnaise et moins dans notre cas. Si cette frontière matérialisée est absente, c’est les sépultures, par leur emplacement, qui permettent plus ou moins de déterminer la délimitation urbaine. De plus, contrairement à nos cimetières actuels qui sont des espaces cloisonnés qu’on visite pour se recueillir, les nécropoles romaines sont des espaces ouverts qui se trouvent le long des voies romaines qui traversent la ville16. Ainsi cela permettait de respecter l’interdit religieux qui voulait la séparation du domaine des vivants et des morts tout en permettant, par la proximité, aux familles de pratiquer leurs devoirs religieux envers les morts durant des cérémonies17. Ainsi à Juliobona (Lillebonne), les cinq potentielles nécropoles sont toutes à l’extérieur du pomerium et donc de l’espace urbain. De plus, elles sont quasiment toutes le long des voies romaines18. La nécropole dite de la “côte blanche”, qui se trouve à l’Est de Juliobona, se trouve au bord de la voie romaine qui se dirige vers Caudebec-en-Caux puis Rouen19. Une deuxième potentielle nécropole dite du “camp blanc” se trouve au Nord de Juliobona au bord d’une voie romaine qui se divise en deux, une allant vers Étretat et l’autre vers Grainville. Au Nord-ouest, se trouve la nécropole dite du “Cheval Blanc” placée le long de la voie qui mène vers Harfleur. Enfin, la nécropole dite du “Catillon” se trouve au bord d’une voie au sud de Juliobona. On observe ce même phénomène pour le site de Rots dans la plaine de Caen20. La nécropole se situe à 60 mètres des habitations21.


Le monde rural a pu être étudié plus précisément grâce à la prospection aérienne22. Cela permet de compléter les études établies sur le terrain. Ainsi, on s’est aperçu que les campagnes de la Gaule sont composées par des habitations qui sont dispersées, mais forment parfois de petits villages. Cela est spécifique aux provinces de l’Occident, mais s’oppose au modèle médiéval qui connaît une concentration des habitats en village. Cependant, contrairement aux habitats, les sépultures sont plus difficiles à repérer durant les différentes prospections (pédestres, aériennes ou géophysiques), ce qui empêche une étude efficace sur la relation entre les habitats ruraux et leurs sépultures23. En effet, les sépultures sont plus enfouies et occupent une plus faible superficie. On connaît donc un faible nombre de sépultures par rapport à l’estimation de la population mais on ne doit pas comprendre cela que par une mauvaise conservation mais aussi selon les pratiques avec l’exclusion selon le sexe ou la classe sociale à la sépulture, la dispersion des cendres ou la pratique de cénotaphes qui signifie “tombe vide” où le cadavre est absent mais une sépulture est mise en place pour sa mémoire et cela concerne principalement les militaires ou les marins disparus.

La relation entre des sépultures et une habitation rurale est difficile à définir faute de règle précise concernant la distance entre ces deux éléments. Cependant, on sait que cette distance varie selon la grandeur du fundus, propriété foncière rurale avec plusieurs unités d’exploitation. À cette question de distance, s’ajoute le problème de datation précise pour les sépultures. De ces fundi, on possède des informations essentiellement sur la pars urbana, zone résidentielle du fundus. On connaît moins chose sur la pars rustica qui concerne les bâtiments d’exploitation. En effet, les sépultures des maîtres situées dans la pars urbana sont mieux identifiables par leurs particularités alors que les sépultures des paysans ou esclaves, donc des classes inférieures, sont plus modestes et ont moins de particularités ce qui empêche leur détection24. Les sépultures de ces classes inférieures sont surtout retrouvées lorsqu’on pratique des décapages sur de grandes surfaces ou “aires ouvertes” comme durant les fouilles préventives durant des grands projets d'aménagement comme les autoroutes, les lignes ferroviaires, etc. Ainsi, c’est durant ces occasions qu’on réalise les plus grandes avancées concernant les liens que peuvent entretenir les habitations rurales et les sépultures des alentours. Mais le problème de ces fouilles préventives, c’est qu’on est limité aux périmètres des travaux. Les sépultures des maîtres sont situées dans une zone réservée qui se trouve au contact de sa demeure ou en tout cas à la frontière avec les domaines. Cette pratique est attestée dans l’ensemble de l’Empire romain ainsi qu’en Gaule qu’elle soit méridionale ou septentrionale.


À la surface des sépultures, on pouvait trouver des stèles tombales25. Selon le statut social, elles pouvaient aller du Cippe, stèle en pierre avec une inscription, jusqu’à des stèles plus sophistiquées. À Juliobona, on a retrouvé une inscription funéraire de Telesa, fille d’Horatillarus, pour son fils Pudor26. Cette inscription aurait été placé au sommet d’un autel funéraire composé d’une “partie souterraine” avec la sépulture. On a retrouvé aussi des sculptures funéraires plus imposantes comme la stèle dite du parfumeur27. Sur le site de Clos-au-Duc, nous n’observons pas de sépultures regroupées malgré une forte densité sépulcrale. Cela mène à penser que des démarcations étaient présentes pour indiquer quelle personne reposait à un endroit précis. Les archéologues ont également retrouvé un fragment de stèle funéraire qui nous indique que des cérémonies commémoratives ont été célébrées28. Composé de calcaire blanc, datant du Ier ou IIème siècle, ce fragment “représente un chariot conduit par un homme revêtu du cucullus et tracté par deux équidés”. Le cucullus est un vêtement traditionnel gaulois, porté jusqu’au Moyen Âge.

Ces stèles nous indiquent ici une acculturation des rites gaulois par les rites romains. En effet, l’usage de pierre, d’inscriptions sur des sépultures “est l’une des manifestations les plus évidentes des modifications qui touchent les pratiques funéraires en Gaule et en Germanie au cours de la domination romaine”29. On peut remarquer que les Gaulois, autant dans la façon de faire que dans les écritures et dans la forme, s’approprient la culture romaine. C’est sous l’époque Augustéenne et Judéo-claudienne qu’apparaissent les inscriptions funéraires en Gaule mais il faut attendre véritablement l’époque Flavienne et donc le IIème siècle pour voir des monuments funéraires romains émerger dans toute la Gaule. Après la conquête des territoires par les troupes romaines, l’influence de leurs coutumes sur des terres conquises débute. Cependant, un seul modèle type ne sera pas établi et de nombreuses particularités territoriales apparaissent.


Comme nous l’avons vu, les nourrissons connaissent un sort particulier. Durant l’époque romaine, ils sont exclus des nécropoles et sont plutôt inhumés dans des lieux domestiques ou artisanaux30. Cette exclusion était déjà effective lors de la période de la Tène comme nous avons pu le voir. Fulgence, au VIe siècle de notre ère, estime que ce sont les enfants ayant vécu moins de 40 jours qui sont inhumés dans la zone de l’habitat. Cependant, il ne faut pas considérer cela comme une règle puisqu’on a retrouvé des nécropoles où une partie était consacrée aux enfants, preuve d’une gestion matérielle de l’espace31. Les archéologues sont d’accord pour dire qu’il y a une prise en compte différente des morts infantiles, mais cela peut être variable.


Nous avons donc vu que la séparation est claire et nette durant la période gallo-romaine. Pour autant, nous avons vu que la distance pouvait varier. En milieu urbain, la séparation est matérialisée par le pomerium. Dans une zone rurale, les tombes des maîtres se trouvaient dans la pars urbana, dans un espace réservé aux frontières du domaine alors que les travailleurs (paysans et esclaves) se trouvent dans la pars rustica. L’influence romaine est donc présente du fait d’une règle stricte qui sera en général respectée, mais aussi de l’usage de stèles sur les sépultures. Ces stèles sont le symbole de cette acculturation au sujet de la gestion de l’espace qui reste néanmoins à nuancer.


Conclusion


    Nous avons pu répondre, en étudiant trois thématiques précises de l’archéologie funéraire, à notre problématique. On peut dire, en effet, que la romanisation a eu un impact sur les rites funéraires pratiqués en Normandie. Cependant, il faut nuancer cette romanisation qui est un processus long n'effaçant pas totalement les traditions locales. Nous avons pu voir, tout d’abord, l’évolution des modes d’ensevelissement et observer un changement passant de l’inhumation à l’incinération avant un retour à l’inhumation suivant les coutumes de Rome. Cependant, ces deux modes ont souvent été en cohabitation avec une première prenant l’ascendant sur l’autre. Puis concernant le mobilier, c’est un bon indice de la romanisation… On voit une société laténienne, offrant à ces défunts faunes et flores et réserve une place importante à ces guerriers, se transformer avec la romanisation où la société guerrière disparaît pour adopter de nouvelles pratiques ou croyance comme le dépôt monétaire, de la vaisselle et la pratique de la libation. Enfin, nous avons pu voir que l’utilisation de l’espace pour ces zones funéraires nous permet aussi d’appréhender cette romanisation. Il n’y a pas un changement radical puisqu’on sépare déjà les morts des vivants durant l’époque laténienne mais, avec l’occupation romaine, cette séparation est plus ancrée, matérialisée et codifiée. Ainsi, par ces différents aspects, nous avons pu observer cette romanisation qui est compliquée à interpréter car connaît de nombreuses exceptions selon l’époque, mais également selon la région.

    Cependant cette romanisation va petit à petit être liée à la christianisation comme nous pouvons le voir en 380 quand est publié le célèbre édit de Thessalonique où il est écrit que “tous les peuples doivent se rallier à la foi transmise aux Romains par l’apôtre Pierre [...] c’est-à-dire la Sainte Trinité du Père, du Fils et du Saint-Esprit”. En effet, à partir de la fin du IVe siècle, l’Empire romain d’Occident va être christianisé suite au choix de soutenir le christianisme d’abord par Constantin avec l’Édit de Milan en 313. Cet empereur sera également baptisé sur son lit de mort en 337. Puis par Théodose qui en fera la religion d’État avec l'Édit de 380, cité précédemment. Ainsi les dernières incinérations se déroulent durant le Bas-Empire avec le développement du christianisme. Vers 500, on a une réelle généralisation de l’inhumation32. Enfin, avec le christianisme, un bouleversement apparaît dans les sociétés concernant la place des morts par rapport aux vivants. En effet, au fur et à mesure des siècles, les morts ne sont plus exclus mais sont placés au sein des centres urbains33. Cela devient une norme due exclusivement au christianisme. Nous pourrions donc nous demander comment le Christianisme a-t-il été accepté en Normandie afin de le mettre en contraste avec des régions romanisées depuis plus longtemps comme la Gaule narbonnaise ?


Guilbert Vincent, Doubremelle Clémentine & Laulanet Capucine.


Annexes


Annexe 1 : plan général de la zone 1 avec les vestiges de l’occupation laténienne (Heudebouville)34



Annexe 2 : localisation des tombes sur le site de Cottévrard35


Annexe 3 : plan phasé de la nécropole de Pîtres (DAO : Eric Mare)36

Annexe 4 : localisation des nécropoles, indices de nécropole et tombe autour de la ville antique et par rapport au réseau de voies (Juliobona)37

Annexe 5 : localisation de la nécropole pour le site de Rots (IIe-Ve siècle)38



Annexe 6 : inscription funéraire de Telesa pour son fils Pudor (Juliobona)39

Annexe 7 : stèle du parfumeur (Juliobona)40


1 Franck Perrin, Archéologie funéraire, Paris, Errance, Collection “Archéologiques”, 2007, p. 103.

2 Hélène Delnef, Luc Leconte & Dagmar Lukas, “Les établissements laténien et gallo-romain de Heudebouville (Eure). Premier bilan des fouilles menées en 2009 et 2010 à l’”Ecoparc 2”, Journées Archéologiques de Haute-Normandie Evreux, 6-8 mai 2011, Mont-Saint-Aignan, Presses universitaires de Rouen et du Havre, 2012, p. 49.

3 Voir annexe 1.

4 Franck Perrin, Archéologie funéraire, Paris, Errance, Collection “Archéologiques”, 2007, p. 105.

5 Voir annexe 2.

6 Geertrui Blancquaert, “Cottévrard “La plaine de la Bucaille” (Seine-Maritime). Présentation préliminaire de la nécropole laténienne”, Revue archéologique de Picardie, n°1-2, 1998, p. 171.

7 Non représenté sur l’annexe.

8 Ibidem, p. 180.

9 Yves-Marie Adrian, Eric Mare & Fabien Pilon, “Le quartier sud de la nécropole de Pîtres (Eure). Aperçu des résultats de la fouille de 2008”, Journées Archéologiques de Haute-Normandie Alizay, 20-22 juin 2014, Mont-Saint-Aignan, Presses universitaires de Rouen et du Havre, 2015, p. 112.

10 Voir annexe 3.

11 Yves-Marie Adrian, Eric Mare & Fabien Pilon, “Le quartier sud de la nécropole de Pîtres (Eure). Aperçu des résultats de la fouille de 2008”, Journées Archéologiques de Haute-Normandie Alizay, 20-22 juin 2014, Mont-Saint-Aignan, Presses universitaires de Rouen et du Havre, 2015, p. 114.

12 Franck Perrin, Archéologie funéraire, Paris, Errance, Collection “Archéologiques”, 2007, p. 105.

13 Ibidem, pp. 115-116.

14 Wolfgang Buchwald, Armin Hohlweg & Otto Prinz, Dictionnaire des auteurs grecs et latins de l'Antiquité et du Moyen âge, Turnhout, Brepols, 1991.

15 Laurence Tranoy, Archéologie funéraire, Paris, Errance, Collection “Archéologiques”, 2007, p. 116.

16 Ibidem, p. 119.

17 Eric Follain & Serge Lejeune, “Juliobona” in Lillebonne des origines à nos jours, Saint-Georges-de-Luzençon, Maury, 1989, p. 68.

18 Voir annexe 4.

19 Isabelle Rogeret, Carte archéologique de la Gaule, La seine-Maritime 76, Paris, Académie des inscriptions et belles-lettres, 1997, p. 377.

20 Voir annexe 5.

21 Vincent Carpentier, Emmanuel Ghesquière & Cyril Marcigny, Archéologie en Normandie, Rennes, Ouest-France, 2007, p. 80.

22 Laurence Tranoy, Archéologie funéraire, Paris, Errance, Collection “Archéologiques”, 2007, p. 119.

23 Ibidem, p. 121.

24 Laurence Tranoy, Archéologie funéraire, Paris, Errance, Collection “Archéologiques”, 2007, p. 121.

25 Eric Follain & Serge Lejeune, “Juliobona” in Lillebonne des origines à nos jours, Saint-Georges-de-Luzençon, Maury, 1989, p. 71.

26 Voir annexe 6.

27 Voir annexe 7.

28 Yves-Marie Adrian, Antoine Cottard, Frédéric Kliesch & Sylvie Pluton, “La nécropole gallo-romaine du “Clos au Duc” à Évreux (Eure) : des sépultures du Ier siècle apr. J.-C.”, Revue archéologique de l'Ouest [En ligne], 25 | 2008, mis en ligne le 20 décembre 2010. URL : https://journals.openedition.org/rao/666.

29 Nicolas Laubry, “Aspects de la romanisation en Gaule et en Germanie : les monuments et les inscriptions funéraires sous le Haut Empire”, Pallas, [En ligne], 80 | 2009, mis en ligne le 1er octobre 2009, URL : http://journals.openedition.org/pallas/1843.

30 Laurence Tranoy, Archéologie funéraire, Paris, Errance, Collection “Archéologiques”, 2007, pp. 156-157.

31 Ibidem, p. 160.

32 Lola Bonnabel, Archéologie de la mort en France, Paris, La Découverte, 2012, p. 92.

33 Elisabeth Lorans, Archéologie funéraire, Paris, Errance, Collection “Archéologiques”, 2007, p. 178.

34 Hélène Delnef, Luc Leconte & Dagmar Lukas, “Les établissements laténien et gallo-romain de Heudebouville (Eure). Premier bilan des fouilles menées en 2009 et 2010 à l’”Ecoparc 2”, Journées Archéologiques de Haute-Normandie Evreux, 6-8 mai 2011, Mont-Saint-Aignan, Presses universitaires de Rouen et du Havre, 2012, p. 53.

35 Geertrui Blancquaert, “Cottévrard “La plaine de la Bucaille” (Seine-Maritime). Présentation préliminaire de la nécropole laténienne”, Revue archéologique de Picardie, n°1-2, 1998, p. 178.

36 Yves-Marie Adrian, Eric Mare & Fabien Pilon, “Le quartier sud de la nécropole de Pîtres (Eure). Aperçu des résultats de la fouille de 2008”, Journées Archéologiques de Haute-Normandie Alizay, 20-22 juin 2014, Mont-Saint-Aignan, Presses universitaires de Rouen et du Havre, 2015, p. 113.

37 Isabelle Rogeret, Carte archéologique de la Gaule, La seine-Maritime 76, Paris, Académie des inscriptions et belles-lettres, 1997, p. 377.

38 Vincent Carpentier, Emmanuel Ghesquière & Cyril Marcigny, Archéologie en Normandie, Rennes, Ouest-France, 2007, p. 80.

39 Eric Follain & Serge Lejeune, “Juliobona” in Lillebonne des origines à nos jours, Saint-Georges-de-Luzençon, Maury, 1989, p. 71.

40 Ibidem, p. 72.


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